Une tradition précieuse
La pâte brûlante gonfle à chaque souffle d’air, s’arrondit à chaque balancement de canne. La goûte irisée s’étire, se refroidit et se cristallise. L’opération se répète nuit et jour, jusqu’à extinction du four de terre, reconstruit chaque trois mois. De cette technique primitive, le verre garde un subtil voilage, une chatoyante poésie.
La pâte brûlante gonfle à chaque souffle d’air, s’arrondit à chaque balancement de canne. La goûte irisée s’étire, se refroidit et se cristallise. L’opération se répète nuit et jour, jusqu’à extinction du four de terre, reconstruit chaque trois mois. De cette technique primitive, le verre garde un subtil voilage, une chatoyante poésie.
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